Voici le rp que j'ai fait sur la bataille de Le.
Rapport d’Albeus Pensemort, à la tête du bataillon du group de raid formé de quelque peu plus que quatre millier de fou de guerre nommé « Dent d’éclaire ».
Une longue marche nous attendait, ils nous prient près de 13 jours pour y arriver. Rendu à destination, nous étions confiants dans la victoire, on allait les écraser! Bien que nous aillions attendu tout le temps possible, ils nous étaient impossibles de patienter d’avantage pour les retardataires. Je remarquais notamment l’absence de l’étendard d’Incal. Ces elfs! Ils ont tellement de temps à vivre qu’ils en oublient d’être à temps pour une guerre, dont les plans ont pourtant été envoyés depuis plus d’une lune déjà!
Pour en revenir à la bataille, j’allai ordonner la charge quand une centaine de boulet de catapulte sortirent des épaisses murailles du seigneur Le. C’était plus une sorte d’avertissement, bien qu’inutile car un si petit nombre d’engin de guerre ne pourrait rien contre les dizaines de milliers de soldats mobilisé pour ce seigneur. J’ordonnai donc la charge, impassible au mort, aux suppliques de pitié. Trop souvent ces yeux avaient contemplé ce spectacle, trop souvent pour n’en faire j’haïr une émotion. Je regardai d’un œil distrait, presque blasé les champs de bataille, ce spectacle m’avait rapidement blasé, ils ne s’ensuivraient qu’une boucherie facile contre des soldats sous entrainé, rien d’amusant, c’est ce que je croyais. Alors même que nous pénétrions dans la cité, je remarquai tout de suite que quelque chose clochait, surement un petit piège qui m’obligerait à sacrifier une dizaine de soldats, je déteste ce genre de routine. Donc, alors que nous pénétrions dans la cité, une solide défense s’opposa à nous. Je notai qu’ils étaient quelque peu plus que ce à quoi nous nous attendions mais rien qui puisse nous mettre en danger. J’envoyais donc 400 de mes meilleurs hommes effectuer une petite brèche dans leur rang.
Dès que mes soldats furent a moins de 100 mètres, près de 3 000 soldats ennemis sortirent de la l’orée des bois, derrière nous, vraiment stupide. J’attendis donc qu’ils furent a porté raisonnable, et ordonna aux quelques shaman qui nous accompagnait de faire bruler les quelques pousses jaunies sur lesquels les ennemis se trouvait, moins d’une dizaine en mourut ou fut le moindrement blessé, mais a peine une centaine avait passé, les autres étaient pris de l’autre côté de l’incendie. Quand je reportai finalement mon attention sur la bataille, c’était le chaos total.
Le group de 400 soldats que j’avais envoyé faire une percée n’apparaissait nulle part dans mon champ de vision. J’en conclus qu’il avait été décimé. Je devins soudainement moins assuré, pas que 400 hommes aient une quelconque importance dans cette bataille, mais que 400 de mes meilleurs hommes aient été tué en à peine quelques secondes. C’est a ce moment que je découvris toutes la supercherie de cette bataille, les soldats ondulaient, comme sur une toile au vent. Mais c’était évidement de la magie et non une toile, le combat commençait à devenir intéressant. Je demandai de nouveau de l’aide aux shamans, déjà épuisé de l’effort qu’ils leurs en avaient coûtés de garder le mur de feu le temps que les archers finissent le travail, de détruire ce… drap magique ou je ne sais quoi. Les shamans fermèrent immédiatement les yeux, immobiles pendants de nombreuses minutes, puis l’un d’eux s’effondra, il était mort, s’ensuivie d’un autre et d’un autre jusqu’à ce que le drap magique disparaisse littéralement.
Je vie enfin la vrai cité de Le. Trois fois plus grandes que ce que nous avions vu, avec des tours faites entièrement de marbre et autre métaux précieux, des châteaux faits de-même. Ce n’était évidement pas des endroits pour ce combattre mais des endroits de plaisances. Mais je vis aussi l’intérieur des rues, il n’y avait pas un endroit dans toute la ville n’étant pas remplie de soldats. Leur armée était aussi grosse que la notre. Sa, sa s’annonçait amusant!
La première journée s’ensuivit d’une légère défaite. La deuxième fut marqué par l’arrivé du seigneur Elfiquage, ou allaient-ils chercher des noms comme sa? J’avais beau être humain je ne m’appelle pas Humainage. Mais je m’égare, son arrivé avec son armée, bien que relativement petite nous permis de remonter la pente. S’ensuivit une journée très ennuyeuse, la guerre restait a un point fixe, aucun des deux camps ne t’entèrent réellement quelque chose, ce fut une égalité des plus lassante. Les trois autres jours furent de même, au soir du cinquième je fus forcé de rappeler mes forces si nous voulions avoir assez de vivres pour nous en revenir. Voici donc le compte rendu du siège de Le.
